Dans son réquisitoire définitif, rendu le 13 novembre, et dont « Le Monde » a pris connaissance, le Parquet national financier a déploré « l’habillage juridique » du « pacte corruptif » présumé entre Rachida Dati et l’ex-PDG de Renault-Nissan, Carlos Ghosn.
Le discounteur a de nouveau sollicité le soutien de ses banques. Son fondateur, Philippe Ginestet, a mandaté Lazard pour trouver un repreneur. Les offres sont attendues d’ici à lundi.
Selon le gestionnaire du réseau français RTE, les échanges d’électricité avec les pays voisins devraient générer un solde positif d’environ 85 térawattheures en 2024. Un niveau lié à la montée en production des barrages et des centrales nucléaires.
Le chef de l’Etat et l’ancien président de la BCE ont disserté, au Collège de France, sur le décrochage de l’UE par rapport aux Etats-Unis. L’économiste Antonin Bergeaud a souligné que, depuis 2005, les premières entreprises déposantes de brevets ne se sont pas renouvelées sur le Vieux Continent, là où elles ont opéré une violente bascule vers le numérique en Amérique, observe Philippe Escande, éditorialiste au « Monde ».
La part des exportations du secteur agroalimentaire brésilien destinées aux pays de l’Union européenne a chuté entre 1999 et 2024, passant de 40,9 % à 13,3 %, notamment au profit de la Chine, qui pèse désormais 32,6 % des exportations.
La charte, qui devait être votée vendredi 15 novembre, vise à rappeler le droit aux directions des établissements d’Ile-de-France où se mobilisent « des minorités agissantes », selon la présidente de la région, Valérie Pécresse.
Les 26 000 avions privés en fonctionnement à la fin 2023 ont rejeté 15,6 millions de tonnes de CO₂ l’année dernière, soit l’équivalent des émissions annuelles de près de 3 millions de Français. Des rejets en forte progression.
La sexualité des Français a été passée à la loupe dans une vaste enquête Inserm-ANRS, la quatrième du genre depuis 1970. La sociologue Nathalie Bajos et la démographe Armelle Andro en décryptent les premiers enseignements dans un entretien au « Monde », où elles soulignent un « paradoxe contemporain ».
Les enseignants regrettent qu’Anne Genetet n’ait pris leur défense que quatre jours après les propos de l’ancien président de la République sur leur temps de travail.