Rôle central de Dominique Pelicot, libre arbitre de ses coaccusés, état de soumission chimique de Gisèle Pelicot : les 106 pages rédigées par les magistrats de la cour criminelle du Vaucluse constituent un document essentiel pour comprendre le verdict rendu jeudi 19 décembre.
Depuis février, les salariés de la multinationale française ont créé un syndicat et demandent des augmentations de salaires. Mais la direction ne cède pas et s’en prend désormais aux syndicalistes.
Pour tous les commerces, les achats de dernière minute seront déterminants. Surtout pour le secteur du jouet, qui réalise plus de la moitié de son chiffre d’affaires au quatrième trimestre.
Rôle central de Dominique Pelicot, libre arbitre de ses coaccusés, état de soumission chimique de Gisèle Pelicot : les 106 pages rédigées par les magistrats de la cour criminelle du Vaucluse constituent un document essentiel pour comprendre le verdict rendu jeudi 19 décembre.
Si le premier ministre veut favoriser les entreprises selon la politique lancée par Emmanuel Macron, il désire aussi ardemment redresser les finances publiques et faire œuvre de justice fiscale.
Il y a ceux qui se sont excusés auprès de Gisèle Pelicot, ceux qui ont voulu clamer une dernière fois leur innocence, ceux qui n’avaient « rien à ajouter »… « Bien, les débats sont donc terminés », a conclu le président, Roger Arata, lundi, après trois mois et demi de débats. La cour s’est retirée et rendra son verdict jeudi ou vendredi.
Dans l’objectif d’aller au plus près des clients industriels pour décarboner leurs activités, des miniréacteurs pourraient voir le jour dans le pays. Encore hypothétiques, ils modifieraient la géographie du nucléaire, avec de nouveaux sites en perspective.
La marque allemande rencontre un vif succès et va poursuivre l’expansion de son réseau de boutiques partout dans le monde. Son PDG a annoncé, mercredi 18 décembre, que le chiffre d’affaires a bondi de 22 % sur l’exercice 2024.
La région du Sud-Ouest, qui a bâti sa fortune et son identité sur l’industrie automobile, subit une concurrence brutale venue de Chine. A Stuttgart, opulente capitale du Land, la population commence tout juste à prendre la mesure de la vague qui s’annonce.
La Cour de cassation a confirmé, mercredi 18 décembre, la condamnation de l’ex-chef de l’Etat à trois ans de prison, dont un an ferme, sous bracelet électronique, pour « corruption » et « trafic d’influence ».
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