
Dans le peloton européen, les fragilités de l’économie française
« L’Europe décroche ». Déficit élevé, part importante d’emplois peu qualifiés et faiblement rémunérés, et carences du système éducatif sont autant de faiblesses hexagonales.
« L’Europe décroche ». Déficit élevé, part importante d’emplois peu qualifiés et faiblement rémunérés, et carences du système éducatif sont autant de faiblesses hexagonales.
Afin de toucher une génération qui, si l’on en croit plusieurs sondages, est encline à se laisser convaincre de l’intérêt des plans d’épargne-retraite (PER), les compagnies multiplient les partenariats sur Internet pour promouvoir leurs offres les plus novatrices.
Face au réseau Starlink d’Elon Musk, la Commission européenne a donné le feu vert, lundi 16 décembre, aux travaux industriels pour doter l’Union européenne de son propre réseau Internet sécurisé, baptisé « Iris² ». Elle compte ainsi « augmenter son autonomie stratégique ».
Dans le Val-d’Oise et l’Essonne, environ 800 élèves, la plupart en voie professionnelle, n’avaient pas trouvé de place dans un établissement public mi-septembre. Des conventions ont été signées pour rediriger une trentaine de jeunes. Mais le flou demeure sur les conditions financières de ce dispositif.
Reportage à l’hôpital Paris Saint-Joseph, où depuis 2021, des ateliers permettent aux femmes de s’informer sur cette période de la vie, pour y faire face plus sereinement.
Les émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme représentent près de 9 % du total mondial, selon une étude publiée mardi dans « Nature Communications ». Ses auteurs mettent en garde contre cette croissance insoutenable pour le climat.
Cette période, qui peut durer des mois, voire des années, entre la mise au point d’un produit et le moment où ses ventes couvrent les frais, est plus longue que prévu pour les gigafactories. Mais les industriels ont le soutien de Bercy et de la Commission européenne.
Après de longs débats techniques, l’émotion a fait son retour au tribunal correctionnel de Marseille, avec les plaidoiries des conseils des proches des victimes, qui se sont attachés à décrire les manquements d’« une association d’imprudents et de négligents ».
Quatre Français sur dix aimeraient que Médor et consorts soient davantage acceptés sur le lieu de travail. Certaines sociétés en ont fait un argument pour attirer les millennials.
Les agriculteurs britanniques dénoncent une réforme qui mettrait en péril un grand nombre d’exploitations, selon eux. La question a divisé le Parlement mercredi 4 décembre.
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