La mort de Didier Pineau-Valencienne, figure combative du capitalisme français

Didier Pineau-Valencienne,à Paris,en 1998. RICHARD DUMAS/AGENCE VU « Soleil et sympathie »,c’est ainsi qu’Albert Camus voyait le jeune Didier Pineau-Valencienne quand il lui a dédicacé un exemplaire de La Chute,à la toute fin des années 1950. Le jeune homme s’occupait alors des traductions chez Gallimard. Un premier boulot à la sortie de ses études à HEC puis aux Etats-Unis. Ses échanges avec Malraux,Aragon ou Simenon lui ont laissé un profond amour de la littérature et une collection exceptionnelle d’ouvrages rares.

Mais,à moins de 30 ans,en plein boum des « trente glorieuses »,Didier Pineau-Valencienne avait envie de se battre. Et le « soleil et sympathie » des débuts s’est progressivement transformé en « orage et colères »,tant l’homme d’affaires a symbolisé la grande transformation du capitalisme français.

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