Au procès des viols de Mazan, la diffusion des vidéos ne sera pas « systématique »

Gisèle Pelicot arrive avec son avocat,Antoine Camus,au palais de justice d’Avignon,le 19 septembre 2024. ANTONY PAONE / REUTERS La vidéo de Dominique Pelicot et de Jacques C. abusant de Gisèle Pelicot complètement inerte,diffusée la veille,est encore dans les esprits lorsque l’avocat général,Jean-François Mayet,se lève pour prendre la parole,vendredi 20 septembre,à l’ouverture de l’audience.

Après un quart d’heure de réflexion,Roger Arata,président de la cour criminelle du Vaucluse,tranche : « Les diffusions ne seront pas systématiques,elles se feront à la demande de l’une ou l’autre des parties,dans le but unique de la manifestation de la vérité. Considérant que ces images sont indécentes et choquantes,elles seront diffusées en la seule présence des parties et de la cour,et je ferai évacuer la salle. » Il répète : « Ces images sont indécentes et choquantes. »

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