Dans le Centre-Val-de-Loire, deux équipementiers automobiles vont fermer leur usine

« Depuis l’annonce,on est encore sous le choc. Il nous a fallu neuf jours pour commencer à en parler à l’extérieur »,se justifie Murielle Tassaert,43 ans,coordinatrice logistique et secrétaire du comité social et économique (CSE) de Pullflex,à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire). Elle se remémore mille fois la scène,à la fois brutale et aseptisée.

Il dit avoir appelé Bercy et veut agir pour que le PSE soit généreux. Maxime Maintier,son rival LR,peste contre ces « constructeurs automobiles qui affichent d’excellents résultats tout en tournant le dos aux ouvriers français ». Il réclame « une droite sociale,qui saura lutter contre le dumping social et les dérapages du libre-échange ». Les salariés ont refusé une rencontre avec le candidat Reconquête !.

A Diors,dans l’Indre,les 180 ouvriers d’Impériales Wheels,le dernier fabricant français de jantes aluminium,s’apprêtent à connaître un sort similaire. La direction s’était déclarée en cessation de paiements auprès du tribunal de commerce le 22 février 2024… la quatrième fois en dix ans. Une nouvelle audience est prévue ce jeudi 20 juin,mais aucune offre de reprise n’a été déposée,ce qui rend le placement en liquidation judiciaire inéluctable.

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